Baume Pérou Salvador
Myroxylon pereirae
Données générales
Calendrier récolte
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- S
- O
- N
- D
Détails du produit Notre plus-value
Initialement engagé auprès du NRSC, Albert Vieille continue les actions de l’association sur la filière du baume Pérou au Salvador. L’objectif du projet du NRSC était de développer une chaîne d’approvisionnement structurée et durable. Ce projet a permis notamment la rédaction d’un guide de bonnes pratiques de collecte et de mettre en place des ateliers de sensibilisation et de formation technique pour améliorer la sécurité des balsameros. Nous poursuivons aujourd’hui des actions de sensibilisation auprès de nos partenaires historiques pour assurer l’amélioration de la sécurité des balsameros. Nous transformons le baume dans notre centre de production à Séville.
Coté fragrance
On utilise le baume Pérou au cœur des orientaux pour accompagner les accords vanillés et boisés. Sa facette gourmande se marie parfaitement avec les accords chocolats et caramels. Ses notes cinnamiques et animales apportent une touche ronde aux tabacs et aux cuirs.
A propos
Originaire du Salvador, cet arbre monumental de 25 mètres de haut se retrouve principalement dans la « Cordillera del Balsamo», chaîne montagneuse du Nord-Ouest du pays. De la famille des légumineuses, le baume pérou a pour nom botanique Myroxylon pereirae. Il pousse à l’état sauvage entre 600 et 1500 mètres d’altitude. Son nom commun provient de l’époque coloniale lorsque le baume était exporté depuis le Pérou en Europe pour ses qualités olfactives et médicinales. Munis de nombreux canaux sécréteurs, le tronc et les branches de l’arbre exsudent une épaisse résine brune et odorante lorsqu’il est agressé lui permettant ainsi de cicatriser son écorce. Selon la légende, l’arbre serait né du sang de la princesse Nahuat qui avait été versé en bataille. La résine aurait le pouvoir de guérir les blessures !
Lors de la récolte, les balsameros montent aux arbres à l’aide d’une corde pour retirer des morceaux d’écorce. La blessure est brûlée avec un fagot enflammé, afin de stimuler l’exsudation du baume, puis des tissus y sont accrochés pour absorber le baume sécrété. Au bout de quelques semaines, les tissus gorgés de résine sont récoltés, pressés puis filtrés.
Notre plus-value
Initialement engagé auprès du NRSC, Albert Vieille continue les actions de l’association sur la filière du baume Pérou au Salvador. L’objectif du projet du NRSC était de développer une chaîne d’approvisionnement structurée et durable. Ce projet a permis notamment la rédaction d’un guide de bonnes pratiques de collecte et de mettre en place des ateliers de sensibilisation et de formation technique pour améliorer la sécurité des balsameros. Nous poursuivons aujourd’hui des actions de sensibilisation auprès de nos partenaires historiques pour assurer l’amélioration de la sécurité des balsameros. Nous transformons le baume dans notre centre de production à Séville.
Coté fragrance
On utilise le baume Pérou au cœur des orientaux pour accompagner les accords vanillés et boisés. Sa facette gourmande se marie parfaitement avec les accords chocolats et caramels. Ses notes cinnamiques et animales apportent une touche ronde aux tabacs et aux cuirs.
A propos
Originaire du Salvador, cet arbre monumental de 25 mètres de haut se retrouve principalement dans la « Cordillera del Balsamo», chaîne montagneuse du Nord-Ouest du pays. De la famille des légumineuses, le baume pérou a pour nom botanique Myroxylon pereirae. Il pousse à l’état sauvage entre 600 et 1500 mètres d’altitude. Son nom commun provient de l’époque coloniale lorsque le baume était exporté depuis le Pérou en Europe pour ses qualités olfactives et médicinales. Munis de nombreux canaux sécréteurs, le tronc et les branches de l’arbre exsudent une épaisse résine brune et odorante lorsqu’il est agressé lui permettant ainsi de cicatriser son écorce. Selon la légende, l’arbre serait né du sang de la princesse Nahuat qui avait été versé en bataille. La résine aurait le pouvoir de guérir les blessures !
Lors de la récolte, les balsameros montent aux arbres à l’aide d’une corde pour retirer des morceaux d’écorce. La blessure est brûlée avec un fagot enflammé, afin de stimuler l’exsudation du baume, puis des tissus y sont accrochés pour absorber le baume sécrété. Au bout de quelques semaines, les tissus gorgés de résine sont récoltés, pressés puis filtrés.
Autre type d'extrait
(Balsamique)