Myrrhe Somalie
Huile essentielle
Myrrhe Somalie
Résinoïde
Commiphora myrrha resin
F&F
Balsamique
Balsamique, résineux, humide, boisé, champignon.
Données générales
Sauvage
Résine
Extraction au solvant
Sesquiterpènes (furanoeudesma-1,3-diène, curzerène)
Furanoeudesma-1,3-diène, Lindestrène, Curzerène
8016-37-3
Commiphora myrrha resin
Calendrier récolte
- J
- F
- M
- A
- M
- J
- J
- A
- S
- O
- N
- D
Détails du produit Notre plus-value
Collaboration avec un partenaire local par le biais d’un contrat pluriannuel engageant les deux parties sur la quantité et la qualité et garantissant un prix équitable pour les collecteurs.
Formation aux bonnes pratiques de récolte dispensée aux collecteurs par notre partenaire.
Amélioration des conditions de vie des communautés locales.
Le gouvernement somalien a établi les bonnes pratiques d’exploitation pour assurer la durabilité de la ressource : évaluation annuelle des arbres pour superviser la fréquence d’exploitation, le nombre d’incisions et la rotation des arbres exploités.
Aucun pesticide n’est utilisé sur les arbres, la gomme est certifiée biologique.
Le processus de transformation est effectué dans nos installations en Espagne.
Nous mettons en œuvre des plans de contrôle de la récolte à l’exportation, afin de garantir la légalité des matières premières sauvages à risques.
Coté fragrance
La myrrhe rappelle les senteurs familières des longues promenades en forêt à l’automne. Elle développe des facettes de champignon frais évoluant lentement vers un aspect plus boisé et moussu. On retrouve également une note épicée de safran avec un léger côté métallique, complétée par de petites touches de réglisse.
Par rapport à l’huile essentielle, le résinoïde est plus doux mais tout à fait identique. Il concentre quelques notes caramélisées et lourdes alors que l’huile essentielle a un beau sillage que l’on imagine facilement dans une eau de Cologne ou avec une rose.
A propos
Le Commiphora myrrha est un arbuste robuste des zones arides et désertiques du nord et de l’est de l’Afrique que l’on retrouve essentiellement en Somalie. Ses branches sont recouvertes de longs aiguillons et, à la saison des pluies, de larges feuilles vert bouteille.
D’après une légende de la mythologie grecque, cette résine tient son nom de la fille du roi de Chypre, Myrrha. Éprise de son propre père mais honteuse de cet amour, la jeune fille pria les dieux de la bannir du monde des vivants et de celui des morts. Les Dieux la transformèrent alors en arbre dont la myrrhe serait ses pleurs de sang.
En Somalie, le gemmage est pratiqué pendant la saison sèche, période végétative des arbres (lorsqu’ils n’ont plus de feuilles). Une fois l’arbre incisé, les collecteurs laisse l’arbre exsuder sa résine pendant 10 à 15 jours puis viennent la récolter 2 à 3 semaines plus tard. Les arbres sont ensuite ré-inciser pour une nouvelle exsudation. Une fois récoltée, les gommes de myrrhe sont triées manuellement par taille et couleur puis laissées 12 semaines à sécher.
Notre plus-value
Collaboration avec un partenaire local par le biais d’un contrat pluriannuel engageant les deux parties sur la quantité et la qualité et garantissant un prix équitable pour les collecteurs.
Formation aux bonnes pratiques de récolte dispensée aux collecteurs par notre partenaire.
Amélioration des conditions de vie des communautés locales.
Le gouvernement somalien a établi les bonnes pratiques d’exploitation pour assurer la durabilité de la ressource : évaluation annuelle des arbres pour superviser la fréquence d’exploitation, le nombre d’incisions et la rotation des arbres exploités.
Aucun pesticide n’est utilisé sur les arbres, la gomme est certifiée biologique.
Le processus de transformation est effectué dans nos installations en Espagne.
Nous mettons en œuvre des plans de contrôle de la récolte à l’exportation, afin de garantir la légalité des matières premières sauvages à risques.
Coté fragrance
La myrrhe rappelle les senteurs familières des longues promenades en forêt à l’automne. Elle développe des facettes de champignon frais évoluant lentement vers un aspect plus boisé et moussu. On retrouve également une note épicée de safran avec un léger côté métallique, complétée par de petites touches de réglisse.
Par rapport à l’huile essentielle, le résinoïde est plus doux mais tout à fait identique. Il concentre quelques notes caramélisées et lourdes alors que l’huile essentielle a un beau sillage que l’on imagine facilement dans une eau de Cologne ou avec une rose.
A propos
Le Commiphora myrrha est un arbuste robuste des zones arides et désertiques du nord et de l’est de l’Afrique que l’on retrouve essentiellement en Somalie. Ses branches sont recouvertes de longs aiguillons et, à la saison des pluies, de larges feuilles vert bouteille.
D’après une légende de la mythologie grecque, cette résine tient son nom de la fille du roi de Chypre, Myrrha. Éprise de son propre père mais honteuse de cet amour, la jeune fille pria les dieux de la bannir du monde des vivants et de celui des morts. Les Dieux la transformèrent alors en arbre dont la myrrhe serait ses pleurs de sang.
En Somalie, le gemmage est pratiqué pendant la saison sèche, période végétative des arbres (lorsqu’ils n’ont plus de feuilles). Une fois l’arbre incisé, les collecteurs laisse l’arbre exsuder sa résine pendant 10 à 15 jours puis viennent la récolter 2 à 3 semaines plus tard. Les arbres sont ensuite ré-inciser pour une nouvelle exsudation. Une fois récoltée, les gommes de myrrhe sont triées manuellement par taille et couleur puis laissées 12 semaines à sécher.
Autre type d'extrait
(Balsamique)
